Tant que le système économique sera la capitalisme, c’est à dire l’accumulation à un pôle de la société des richesses produites par le travail des prolétaires les conflits de ces pôles opposés et des couches intermédiaires se traduiront en des formes politiques
Seule une société basée sur une économie des communs ou la totalité des biens produits sont reversés,selon des règles démocratiques, à l’ensemble des individus constituant cette société, pourra dépasser les formes actuelles de la politique
Le travail n’aura d’autres but que de satisfaire les besoins démocratiquement, scientifiquement discutés dans un va et vient permanent entre communautés locales et les autres échelons
L’état perdra son pouvoir de coercition envers les couches sociales exploitées au profit d’un rôle de mise en harmonie des besoins et des possibilités de les satisfaire
Le marché perdra son pouvoir de régulateur aveugle au bénéfice d’institution de droits, de gratuité pour les besoins fondamentaux ( santé, communication, déplacements, habitation, culturels…) régis au plus près des citoyens mais selon des lis universelles
Le mouvement des communs se doivent d’abandonner une position à l’écart des réalités tragiques de notre époque
la conscience de l’épuisement des ressources naturelles a fondé l’écologie
L’épuisement de l’homme doit conduire a un front large de réformes révolutionnaires
Lauro
PS: j’ai concocté deux propositions
1 sur la copropriété pour que les copro deviennent citoyens dans leur immeuble et dans la ville (fondation de coopérative remplaçant les syndics )
2 sur des fablab de quartier (inspiré de Gortz ) lieu de fabrication pour les besoins collectifs et individuels des habitants du quartier, de recyclage, d’apprentissage des techniques découlant du Logiciel libre, de présence d’antennes d’AMAP, de démocratie y compris dans l’organisation du travail,