L’association Les périphériques vous parlent*, l’économiste Riccardo Petrella et l’établissement culturel solidaire Le 100, entendent fonder en 2017 l’université du bien commun à Paris. Des universités du bien commun existent actuellement en Italie, Belgique, Pays-Bas et Argentine qui entendent promouvoir et défendre les biens communs matériels et immatériels.
Il s’agira d’une université, basée sur la gratuité, sans chaire instituante, reposant sur un fonctionnement co-opératif et rotatif, en bénéficiant des locaux, des infrastructures et des moyens techniques du 100 ECS.
Cette initiative, au carrefour des initiatives déjà foisonnantes en matière de communs, entend contribuer à sa manière à la valorisation des biens communs et des actions et réflexions des différents acteurs travaillant déjà sur ces questions, afin de constituer un lieu d’échanges et de confrontations d’expertises en la matière.
En mai et juin 2017 : une phase de préfiguration puis de fondation - si suffisamment de convergences le permettent - avant son ouverture ultérieure a l’automne au public.
Contacts :
Yovan Gilles et Cristina Bertelli – responsables du projet
Association Science Technologie Art Recherche
Revue Les périphériques vous parlent / www.lesperipheriques.org
*Depuis plus de 25 années, notre association S.T.A.R/Les périphériques vous parlent met au cœur de sa démarche des expériences de démocratie et de citoyenneté, des pratiques culturelles et éducatives reposant sur le développement de la créativité individuelle et collective. Nous produisons des outils pédagogiques tous supports (audiovisuels, web, livres, revues, radio) et organisons des évènements publics, des séminaires, des ateliers, des conférences et des formations portant sur les enjeux dont dépend le devenir de la société française : discriminations, démocratie sanitaire et prévention santé publique, lancement d’alerte, audits citoyens, refonte écologique des modes de production, démocratie dans le travail, pratiques agro-culturales, valorisation des pratiques culturelles des Outre-mer… Notre démarche est également nourrie par une longue expérience de la scène (théâtre, danse, musique, techniques du jeu de l’acteur) ouvrant à une réflexion qui ne sépare jamais action et connaissance et par une pratique de la transversalité, du décloisonnement et de la multidisciplinarité.