"Depuis ses débuts nous avons construit le réseau Oasis comme un réseau ouvert, un écosystème, un « commun ». C’est donc logiquement que s’est posée, au fil des années, la question de lui donner une forme juridique qui intègre formellement toutes ses parties prenantes. Il s’agissait notamment de replacer les oasis au centre de la gouvernance du réseau. Il devenait crucial, à un moment donné, de formaliser la gouvernance informelle qui se vivait au sein du projet.