Bonjour,
avec les “nouveaux communs” on a tendance à regarder plutôt des réseaux ouverts et de l’abondance …
Mais n’oublions pas l’aspect potentiellement tragique des communs, dès lors qu’ils s’appliquent aux ressources naturelles
Voir :
http://loic-steffan.fr/WordPress3/reflexions-sur-les-communs-et-sur-le-pic-dhubbert/
La compréhension des problèmes spécifiques des ressources renouvelables et des ressources non renouvelables sera déterminante ! Les réflexions combinées d’Ostrom, de Basu, de Dardot et Laval ou même de Azam sur les communs sont très importantes car elles permettent d’améliorer la coopération et la gestion collective.
Cependant si la gestion des ressources non renouvelables dans une logique de commun permet d’atténuer les impacts, cela n’empêche pas la déplétion une fois le pic de la ressource franchit.